Pourquoi consulter un(e) voyant(e).

voyance par chat La consultation de voyance, qu’elle se déroule à domicile, en cabinet, à distance (par téléphone ou correspondance), ou la voyance par chat, doit observer une certaine éthique. Le (la) voyant(e) ne doit pas faire de discrimination, qu’il s’agisse de la race, de la religion, de l’orientation sexuelle, ou d’un éventuel handicap caractérisant un individu ou un autre. Il (elle) ne doit pas aborder les thèmes de la santé ou de la mort sans préciser au préalable qu’il (elle) n’est pas médecin et que son analyse n’a donc rien d’un diagnostic. Il (elle) ne doit pas proposer de travaux occultes. La profession de voyant(e) n’étant soumise à aucune obligation de résultat, il (elle) doit en informer le (la) consultant(e). Le (la) voyant(e) doit répondre aux interrogations de son interlocuteur(trice) et le (la) conseiller dans ses choix en respectant son libre arbitre.

Le (la) consultant(e)

Ego

medium par chat Nos blessures d’enfance (sentiments de rejet, d’abandon, d’humiliation, de trahison, d’injustice) ont largement contribué à faire de nous ce que nous sommes. Nos mauvais souvenirs (situations de solitude, d’incompréhension, d’échec, d’impuissance, de honte) altèrent notre vision du présent (peur de la maladie, de la vieillesse, de la mort) et modèlent notre comportement (rapport à l’argent, à la sexualité, au travail, à la famille, aux loisirs). De ce fait, nous vivons essentiellement d’habitudes (réflexes, manies, superstitions…) et de fausses croyances (préjugés, à-priori, stéréotypes, idées reçues…) par notre acceptation de la société (religion, politique, science, société de consommation) et notre soif de pouvoir (plan de carrière, échelle de la hiérarchie, promotions). En réalité, nous sommes constamment aux prises avec notre environnement (crise, chômage, violence), nos proches (rivalité, concurrence, jalousie) et nous-mêmes (manque de confiance et de volonté, surmenage). Nous cherchons à parfaire notre image (timidité, nervosité, doute), masquant nos défauts autant que faire se peut (faiblesses, rêves, phantasmes), ce qui perturbe notre relation à nous-mêmes (refoulement, angoisse, frustration…) et notre relation aux autres (jugement, critique, accusation), quand ce n’est pas notre santé (complexes, malaises, dysfonctionnements du métabolisme). Afin de supporter cet état de stress permanent, nous nous mentons à nous-mêmes en adoptant une attitude contre nature (sadisme, obsession, jeux d’argent) ou en nous adonnant à des pratiques autodestructrices (alcoolisme, tabagisme, drogue), bref nous fuyons nos responsabilités (considération, moralité, devoir). Le coupable, le seul et vrai coupable, c’est notre ego, qui nous commande depuis notre petite enfance, et qui nous dominera pour le restant de nos jours si nous ne reprenons pas vite le contrôle de nous-mêmes.

Libre arbitre

Il convient de retrouver notre libre-arbitre (initiative, créativité, maîtrise) et de restaurer l’équilibre (acceptation, pardon et guérison) entre nos quatre corps (physique, mental, émotionnel et spirituel) pour (re)donner enfin un sens à notre existence. Pour ce faire, chacun de nous doit s’engager dans une quête de soi. Il n’y a pas d’autre alternative si nous voulons nous soustraire à nos fausses croyances et à nos peurs (interrogation, intimidation, indifférence ou soumission) et vaincre nos blocages (troubles, malaises et maladies).

Connaissance de soi

Notre ego vit dans le passé, la notion de futur lui étant totalement étrangère, puisqu’il s’agit d’une construction mentale qui se nourrit de notre mémoire. Laisser notre ego diriger notre vie revient donc à appréhender l’avenir les yeux fermés. Au contraire, éveiller notre conscience à la réalité, annihiler nos fausses croyances et nos peurs, et oser regarder la vérité en face, c'est-à-dire retrouver notre libre arbitre, permet d’anticiper l’avenir. La connaissance de soi est synonyme d’équilibre entre les cinq sens physiques (la vue, l’odorat, le toucher, le goût et l’ouïe) et les cinq sens psychiques (l’émotion, l’imagination, l’intuition, la conscientisation et l’inspiration). Par un trouble, un malaise ou une maladie, notre corps physique nous signale que notre attitude mentale, émotionnelle ou spirituelle est nuisible à notre bien être. Bref, la connaissance de soi nous apprend à redevenir nous-mêmes par le libre-arbitre.

Le (la) voyant(e)

Rôle(s)

Un(e) voyant(e) est la plupart du temps amené(e) à cumuler plusieurs rôles dont conseiller(e) en relation humaine, conseiller(e) en développement personnel, coach de vie, (para)psychologue, guide spirituel. Pour le (la) consultant(e), il (elle) peut devenir simultanément ami(e), confident(e), référent. Parfois, le (la) voyant(e) est en parallèle magnétiseur(se), radiesthésiste ou psychothérapeute.

Limites

Il (elle) n'est certainement pas psychiatre, médecin, juge, avocat(e) ou assistante sociale.

Législation

Pour le droit français, l'exercice de la voyance a longtemps été un délit prévu au Code Pénal. Le 1er mars 1994, les législations répressives de 1834 et de 1945 ont été grandement amendées par la suppression de l'article R.34 7° de l'ancien Code pénal.