Forum Voyantel - Voyance directe - Voyance privée

Forum Voyantel - Voyance directe - Voyance privée (http://www.voyantel.com/forum/index.php)
-   Salon (http://www.voyantel.com/forum/forumdisplay.php?f=3)
-   -   Histoires vraies d'animaux (http://www.voyantel.com/forum/showthread.php?t=8)

PASCAL 14/08/2007 09h09

Histoires vraies d'animaux
 
SEISMES ET ANIMAUX

En 373 av. J.-C., un tremblement de terre a littéralement englouti la ville d’Helix (Grèce) sur les rives du golfe de Corinthe. Cinq jours avant le séisme, selon l’historien Diodore de Sicile, les rats, les serpents, les belettes et d’autres animaux quittèrent la ville en masse, à la stupéfaction des habitants.

Plus près de nous, un formidable tremblement de terre frappa Lisbonne (Portugal) en 1755 : son intensité fut telle que les cloches, sous l’effet de l’onde de choc, se mirent à sonner toutes seules jusqu’en Suède. De nombreux écrivains de l’époque en parlèrent, dont Voltaire et le philosophe Emmanuel Kant. Voici en quels termes ce dernier décrivit les signes annonciateurs de l’imminence d’un séisme : « Les animaux sont saisis de frayeur peu avant l’événement. Les oiseaux se réfugient dans les maisons, les rats et les souris quittent leurs trous. » Des témoignages d’alors font également état d’une «multitude de vers» sortant de terre huit jours avant le tremblement, et de l’extrême agitation du bétail, la veille.

Bien plus récemment, à Agadir (Maroc), des animaux errants, en particulier des chiens, ont été vus fuyant le port à la course avant la secousse qui devait faire 15 000 victimes.


TELEPATHIE ET ANIMAUX

Dans certains cas de télépathie, les animaux manifestent des signes de détresse quand il y a danger, et c’est d’autant plus impressionnant lorsqu’une grande distance les sépare de la personne concernée par ledit danger. L’exemple suivant en constitue une parfaite illustration ; l’épisode se situe au cours de la guerre des Malouines et plus de 10.000 km séparent le chien de son maître. Iris Hall, de Cowley, Oxford en Angleterre, raconte : « Mon fils, qui était très proche de notre terrier blanc du West Highland, s’est engagé dans la Royal Navy en 1978 ; la plupart du temps basé à terre jusqu’en 1982, il rentrait régulièrement par le train à la maison pour les week-ends. Nous nous sommes progressivement rendu compte que le chien commençait à donner des signes d’excitation vingt à trente minutes avant qu’il ne passe la porte ; dès que l’animal se mettait à faire des allées et venues intempestives vers l’entrée, je préparais donc un bon goûter car mon garçon arrivait toujours affamé. A l’époque, cela nous faisait rire. En avril 1982, le HMS Coventry – sur lequel servait notre fils – a appareillé vers les Malouines. Au début de la soirée du 25 mai, le chien, geignant et frissonnant, a grimpé sur mes genoux. Quand mon mari est arrivé, je lui ai dit : « Je ne sais pas ce qui lui arrive, il est comme ça depuis plus d’une demi-heure et ne veut pas quitter mes genoux. » Aux informations de 21 heures, on annonça qu’un bâtiment de type 42 avait été coulé. Nous savions qu’il s’agissait du HMS Coventry, bien que le nom du bateau n’ait été rendu public que le lendemain. Notre fils comptait parmi les disparus. Notre petit chien a dépéri et est mort quelques mois plus tard. »

«…Il arrive que l’humain reçoive un message télépathique…»

Cela s’applique aussi entre congénères ; pour preuve l’histoire que nous rapporte le Dr Max Rallon, de Chateauneuf-le-Rouge, en France : « J’ai un berger de Beauce femelle nommée Yssa, âgée de deux ans et arrivée en France avec moi à l’âge de trois mois. Elle venait de l’île de la Réunion, située dans l’océan Indien à 10.000 km de la Métropole, et où j’avais laissé sa mère Zoubida, âgée de dix ans. Le 13 février de cette année-là, Yssa dormait dans la chambre de mon fils. Vers 3 heures du matin, elle est venue gratter à ma porte ; geignant et pleurant, elle était très agitée et ne voulait pas quitter ma chambre. Mon beau-frère a téléphoné de la Réunion à 9 heures du matin. Le gardien de la maison avait retrouvé Zoubida morte, empoisonnée. »

Il arrive également que l’humain reçoive un message télépathique provoquant, de manière tout à fait caractéristique, des sensations de malaise et de détresse, ainsi que certains symptômes physiques ; le témoignage de Diane Arcangel, habitant Pasadena, Texas aux Etats-Unis, est très éloquent. Elle quitte son hôtel en direction de l’aéroport pour prendre un avion qui doit la ramener chez elle quand, peu avant le départ de la navette, à 16h05, heure du Texas, elle commence à se sentir nerveuse sans savoir pourquoi. Elle explique : « Au cours du trajet, j’ai commencé à ressentir des nausées et à transpirer. Mon estomac et mes intestins étaient tellement noués que j’étais pliée en deux. En arrivant à l’aéroport, je me suis sentie physiquement mal et profondément triste. Craignant qu’un événement grave ne se soit produit à la maison, j’ai téléphoné à ma fille : « Nous n’avons subi qu’une épouvantable tempête, mais maintenant c’est fini », m’a-t-elle répondu, en ajoutant que tout allait bien. Pourtant, je n’ai pu retenir mes larmes pendant tout le trajet du retour. Arrivée à l’aéroport de Houston à 22 heures, j’ai trouvé mon mari en pleurs. Il m’a raconté que la foudre avait frappé la maison à 4h08 (toutes les horloges étaient bloquées sur cette heure-là). Kitty, l’un de mes huit chats, avait eu si peur de l’orage qu’elle était sortie. Quand mon mari était rentré à la maison, il a aperçu dans l’arrière-cour deux gros chiens plantés devant son corps inerte. Au moment où il les a chassés, il a remarqué qu’ils étaient tous les deux couverts de son sang et de ses poils. Ses blessures se situaient aux endroits où j’avais ressenti une douleur fulgurante, et au même moment. »

421 22/08/2007 10h02

Après le tsunami qui a fait la une des médias (décembre 2005 ?), j'ai effectivement entendu dire que tous les animaux s'étaient retirés à l'intérieur des terres... Et par ailleurs, aucun journaliste (à ma connaissance) n'a déploré la mort massive d'animaux marins et/ou terrestres.

421

Yadlajoie 24/09/2007 16h52

Synchronicité
 
Une expérience scientifique réalisée simultanément en 1901 dans plusieurs pays démontra que par rapport à une série de tests d'intelligence donnés, les souris méritaient une note de 6 sur 20.

Reprise en 1965 dans les mêmes pays et avec exactement les mêmes tests, l'expérience accorda aux souris une moyenne de 8 sur 20.

Les zones géographiques n'avaient rien à voir avec ce phénomène. Les souris européennes n'étaient ni plus ni moins intelligentes que les souris américaines, africaines, australiennes ou asiatiques. Sur tous les continents, toutes les souris de 1965 avaient obtenu une meilleure note que leurs aïeules de 1901. Sur toute la Terre, elles avaient progressé. C'était comme s'il existait une "intelligence souris planétaire" qui se serait améliorée au fil des ans. De même on a vu des singes apprendre "tout à coup" à éplucher des patates sur plusieurs îles du Pacifique pourtant fort éloignées les unes des autres.

Chez les humains, on a constaté que certaines découvertes et inventions avaient été mises au point simultanément en Chine, aux Indes et en Europe : le feu, la poudre, le tissage, par exemple. De nos jours encore des découvertes s'effectuent au même moment en plusieurs points du globe et dans des périodes restreintes. Tout laisse à penser que certaines idées flottent dans l'air, au-delà de l'atmosphère, et que ceux dotés de la capacité de les saisir contribuent à améliorer le niveau de savoir global de l'espèce.

Extrait de "L'Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu" de Bernard WERBER

AZERTY 13/10/2007 14h51

Procés d'animaux
 
De tout temps, les animaux ont été considérés dignes d'être jugés par la justice des hommes.

En France, dès le Xème siècle, on torture, pend et excommunie sous divers prétextes des chats, des ânes, des chevaux ou des cochons.

En 1120, pour les punir des dégâts qu'ils causaient dans les champs, l'évêque de Laon, et le grand vicaire de Valence excommunièrent des chenilles et des mulots.

Les archives de la justice de Savigny contiennent les minutes du procès d'une truie, responsable de la mort d'un enfant de cinq ans. La truie avait été retrouvée sur les lieux du crime en compagnie de six porcelets aux groins encore couverts de sang. Etaient-ils complices ? La truie fut pendue par les pattes arrière en place publique jusqu'à ce que mort s'ensuive. Quant à ses petits, ils furent placés en garde survéillée chez un paysan. Comme ils ne présentaient pas de comportement agressif, on les laissa grandir pour les manger "normalement" à l'âge adulte.

En 1474, à Bâle, en Suisse, on assista au procès d'une poule accusée de sorcellerie pour avoir pondu un oeuf ne contenant pas de jaune. La poule eut droit à un avocat qui plaida l'acte involontaire. En vain, la poule fut condamnée à être brûlée vive sur un bûcher. (Ce ne fut qu'en 1710 qu'un chercheur découvrit que la ponte d'un oeuf sans jaune était la conséquence d'une maladie.) Le procès ne fut pas révisé pour autant.

En Italie, en 1519, un paysan entama un procès contre une bande de taupes ravageuses. Leur avocat, particulièrement éloquent, parvint à démontrer que ces taupes étaient très jeunes, donc irresponsables et que, de surcroît, elles étaient utiles aux paysans puisqu'elles se nourrissaient des insectes qui détruisaient leurs récoltes. La sentence de mort fut donc commuée en bannissement à vie du champ du plaideur.

En Angleterre, en 1622, James Potter, accusé d'actes fréquents de sodomie sur ses animaux familiers, fut condamné à la décapitation, mais ses juges, considérant ses bêtes comme autant de complices, infligèrent la même peine à une vache, deux truies, deux génisses et trois brebis.

En 1924 enfin, en Pennsylvanie, un Labrador mâle du nom de Pep fut condamné à la prison à vie pour avoir tué le chat du gouverneur. Il fut écroué sous matricule dans un pénitencier où il mourut de vieillesse six ans plus tard.


Fuseau horaire GMT +1. Il est actuellement 08h17.