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Voir la version complète : Combustions spontanées


Yadlajoie
24/08/2007, 09h04
On parle de combustion spontanée lorsque des êtres humains brûlent sans aucune raison apparente. C'est le plus mystérieux des phénomènes provoqués par le feu. C'est un des sujets du paranormal pour lequel il y a un grand nombre de photos et d'expertises, les cas étant toujours suivis d'enquêtes policières, la mort n'étant pas de type naturel

Les combustions spontanées présentent des constantes : la victime semble ne pas avoir conscience de ce qui lui arrive, la chaleur dégagée est très intense, le feu ne s'étend pas (des victimes ont été carbonisées dans leurs vêtements presque intacts) et aucun lieu ne semble offrir de protection, y compris les espaces découverts, les navires, les voitures ou même... les cercueils.

Pour la plupart des scientifiques, ces morts s'expliquent par l’embrasement d’un vêtement par une cigarette ou que la victime se soit trop approchée du feu. Mais ce qui est contradictoire, c'est que même dans les crematoriums le corps humain ne devient jamais que de la cendre. Il reste toujours des petits fragments d’os qui ont résistés a la chaleur, alors qu’il ne reste rien après une combustion spontanée !

LA COMTESSE DE CENDRES
Le premier cas recensé de combustion humaine spontanée eut lieu en Italie dans les environs de Verone. Au soir du 4 avril 1731, la comtesse Cornelia Bandi - 62 ans - dîne tranquillement en compagnie du chanoine Bianchini puis part se coucher. Le lendemain matin les domestiques qui pénètrent dans sa chambre sont saisis de stupeur : "le plancher de la chambre, précise la gazette locale, était parsemé de grosses taches d'apparence humide et gluante tandis qu'un liquide gras, jaunâtre, écoeurant, coulait le long de la fenêtre emplissant la pièce d'une odeur répugnante". La camériste remarque qu'une fine couche de suie recouvre les meubles. Quant à la comtesse Band, elle gisait près de son lit où plutôt ce qui restait d'elle : un petit tas de cendre, ses deux jambes et un morceau de sa boîte crânienne, réduit par la force de la combustion. Les autorités et le médecin légiste furent perplexes. Le magistrat se contentera de noter dans son rapport "un feu mystérieux semble s'être allumé spontanément dans la poitrine de la comtesse" et l'on se résoudra à classer le dossier pour toujours.

LE CAS MARY REESEER
Dans l'affaire de Mary Reeser, des experts en pyromanie, des pathologistes et même des agents du FBI furent appelés à la rescousse pour mener l'enquête. Mais aucun d'eux ne put expliquer pourquoi le corps fut entièrement désintégré ainsi que les os. Seuls ont subsisté un crâne brûlé, quelques vertèbres, et un pied qui portait encore une pantoufle. La pièce était complètement intacte et le fauteuil fondu. La mort accidentelle fut déclarée cause de l'accident. Pourtant les faits ne concordent pas avec cette affirmation. En effet, pour réduire des os en cendres, il faut une température d'au moins 1650° C, ce qu'un simple incendie de fauteuil ou de vêtement est incapable de produire. D'autre part, une telle température aurait entraîné la combustion de toute la maison. La quantité de suie dégagée montre que le feu qui a consumé Mrs Reeser l'a fait lentement.

LE CAS D'URUFFE
A Uruffe, petit bourg lorrain proche de Toul, Ginette Kazmierczak mène une vie solitaire, discrète et effacée dans le logement de fonction de son fils, l'instituteur du village. Le soir du 12 mai 1977, elle est seule dans l'appartement car son fils est de sortie. Vers 3 heures du matin, sa voisine de palier se réveille en sursaut. Sa chambre est pleine de fumée. Elle sort et voit de petites flammes qui dévorent le bas de porte d'entrée de Mme Kazmierczak. Elle alerte les pompiers qui, très vite arrivés, se trouvent devant un spectacle d'épouvante. Le corps de Mme Kazmierczak gît carbonisé sur le plancher, contre la porte d'entrée, mais les jambes et le bras droit sont intacts, alors que la tête, le tronc et l'abdomen ne sont plus que cendres. Il a fallu une température énorme (2000°C) pour arriver à ce macabre résultat. Seul le plancher sous le buste de la victime révélera des traces d'incendie. Les murs et le sol sont maculés de suie, mais rien d'autre n'a brûlé dans l'appartement. Le poêle à mazout et le chauffe-eau sont éteints. Une boîte d'allumettes est intacte sur le rebord de la fenêtre.

AZERTY
25/08/2007, 08h32
Bonjour,

Question : à quand remonte le dernier cas connu de combustion spontanée près de chez nous, en France ?

AZERTY

Petitjean
26/08/2007, 16h11
Ce qui est certain, c'est qu'on en parle pas dans la presse ; si j'avais vu un cas de combustion spontanée dans les journaux, je m'en souviendrais...

:) Petitjean :D

Kamel-Léon
02/12/2007, 08h39
A tous,

Quelqu'un a-t-il connu de près un cas de combustion spontanée ?

Croyez-vous qu'il s'agisse d'un phénomène naturel ? Ou qui relève de pratiques occultes ?

Bien à vous,

:)

Z'yeux-verts
12/12/2007, 07h45
Moi j'ai franchement du mal de croire à de telles choses...

;)